Catégorie : Une photo, une histoire

Maitre sushi

Maitre sushi

Je me souviens encore de cette journée, tôt le matin je suis parti en direction de Tsukiji l’ancien marché au poisson 🐟. Désormais il ne reste que des échoppes vendant des babioles et une tonne de micro restaurants, de quoi ouvrir l’appétit.

Dans ma tête je me suis dit c’est bon si jamais mais je n’arrive pas à trouver de restaurant pour ce midi. Je reviendrai là. Histoire de tester quelques échoppes.

Je me suis rendu dans le quartier voisin le quartier de Ginza. Un quartier luxueux pas vraiment mon quartier préféré et encore moins mon budget, au programme voiture de luxe dans les rues vitrine Chanel Vuitton, bref, on se serait cru sur les champs-élysées.

Puis arrive à l’heure du repas et avec tout le poisson que j’avais vu le matin, je me suis dit que c’était le moment de tester un bon sushi.

J’ai donc repéré un restaurant qui me semblait pas trop mal dans le quartier où j’étais sauf qu’arrivé devant, il était fermé. Les informations sur Google maps ne sont pas toujours à jour. Changement de programme donc nouveau restaurant cette fois-ci. Il est ouvert 40 minutes d’attente. Au vu de la notation et des commentaires, j’accepte d’attendre 40 minutes. L’hôtesse me fait rentrer dans le restaurant. On prend l’ascenseur pour le 5e étage et me voici désormais dans la salle d’attente du restaurant.

Au bout de 40 minutes ça y est. Je suis appelé direction le maître sushi.

Me voici dans une grande salle à droite pleine de petits box à gauche. Le comptoir du restaurant avec 4 maîtres sushi et seulement 16 tabourets pour les clients. C’est-à-dire qu’un maître sushi s’occupe au maximum de 4 personnes. Pour ma part ça sera donc comptoir, me voilà donc menu d’une main , Google traduction dans l’autre… Un menu  »découverte » voilà donc qui est parfait, accompagné d’un saké 🍶, oui autant se faire plaisir jusqu’au bout.

La suite, un spectacle le maître sushi 🍣 qui prépare minutieusement le sushi, utilisant tout une ribambelle de couteaux 🔪 une pointe de wasabi, et le voilà qu’il dépose délicatement le sushi dans mon assiette.

Il est temps de se lancer…

En un mot PARFAIT 🤯

L’assaisonnement est nécessaire même pas besoin de rajouter quoique ce soit.

Que dire au final, certes c’était cher, mais OUI cela en valait la ‘peine’. Les autres sushis m’ont paru bien fade après, quand aux sushi français, il m’a fallu attendre un bon moment avant d’y retourner.

L’adresse : https://maps.app.goo.gl/M1tbGxe6cn8JQnTJ8

Le menu demandé : je pense le karatsu, je ne me souviens plus vraiment , mais un midi car le soir les prix étaient 2 fois plus chers, mais cela ne semble plus le cas.

Bien sûr j’y retourne bientôt 😁

1P1H – ginza kyubey

1P1H – ginza kyubey

Tellement de souvenir en revoyant cette photo, cette photo a été prise dans le restaurant Ginza Kyubey à Tokyo. Je me suis retrouvé un peu par hazard devant ce restaurant, et après 20 minutes dans une salle d’attente (avec des trucs à regarder, genre un micro musée) Je me suis retrouvé nez à nez avec avec cet homme. Oh bien sûr cela a été un peu compliquer de tout comprendre et j’aurais tellement aimer discuter plus avec lui.
Au menu un set ‘découverte’ de sushi, l’idée était de tester un bon resto de sushi pour voir si le prix en vaut la peine.

Ici pas de tapis roulant pour apporter les sushis, le chef s’occupe personnellement de vous. Il doit y’avoir 1 chef pour 4/6 personnes max. Les sushis sont préparés à la demande et servis les uns apèrs les autres pour garder un maximum de fraicheur. Et pour commencer en douceur, un sushi thon …. et là … l’émotion de FOU, je n’arrive pas à trouver les mots pour exprimer ce que j’ai vécu, c’était tellement bon ! A peine en bouche le sushi a fondu, parfaitement assaisonné avec un mini peu de wasabi … c’était :
– Wahou
– Délicieux
– Que le début …

Et ensuite enchainement de oishii, de wahou, … Même ce ebi-sushi …
Je revois encore la scène, mon chef arrive devant moi avec une crevette (vivante) et me demande dans un anglais approximatif :

cold , hot ?

Mal habitué aux sushis francais, je ne suis pas fan de base des sushi crevettes, mais là proposer une crevette crue … j’avoue j’ai choisi cuite. Et là il trempe la crevette (qui gigotte) dans un bouillon bouillant, une fois la crevette passée de gris à rose, il commence la préparation, et me sert un sushi inoubliable tant par le gout que par la mise en scène de la préparation.

Le prix … cela devait tourner vers les 80€ avec une fiole de saké + menu. Est ce que cela en vaut la peine ?

A-B-S-O-L-U-M-E-N-T !

Je vous laisse le lien pour voir quelques photos : http://www.kyubey.jp/en/en_shoplist_ginza et salivez autant que moi en écrivant ces quelques mots.

J’ai hâte d’y retourner.

Yakiniku

Yakiniku

Une fois n’est pas coutume, 1P1H parle encore de bouffe.
Dans un Yakiniku, petit resto de viande à faire griller, je me souviens du menu qui faisait 4 pages, tout en japonais.

Du coup galère pour commander, d’autant que Google trad faisait des trad bien foireuses.
Mais merci 1000 fois au serveur, qui s’est plié en 4 au sens propre comme figuré pour nous montrer l’animal et de quelle partie du corps de l’animal il s’agissait.

On aurait dit une parti de TimeUP 😀

C’était à la fois hilarant et aussi tellement serviable de sa part, au final on a passé un moment extra dans ce resto, sans avoir eu à manger des trucs ragoutants.

Thé Matcha

Thé Matcha

Une photo, une histoire continue, avec cette photo. A chaque arrivée dans les ryokans ou les temples nous avions le droit au petit thé matcha, une très gentille attention … sous réserve d’aimer.

Et là est tout le soucis.

Perso je n’aime pas trop (euphémisme), il est facile d’esquiver le truc dans une chambre de ryokan, mais dans un temple … bah y’a rien pour balancer ce breuvage, et pour couronner le truc des fois ils forcent la dose rendant le truc infâme….

Thème : Overlay par Kaira.